comme celle-ci
mardi 1 juillet 2008
ADVENIR, parler d'elle, non je ne t'oublis pas.
lJe me suis dit que j’allais écrire pour parler d’elle, et ceci pour mieux accepter cet état de fait ou bien même ne plus penser à elle. Oui le féminin l'emporte ici.
Et bien, je m’aperçois que cela ne servirait à rien. Pensée devenue certitude au fur et à mesure que cheminait l’idée de la coucher sur papier, cette idée. Je ne peux l’oublier, la nier.
Et bien, je m’aperçois que cela ne servirait à rien. Pensée devenue certitude au fur et à mesure que cheminait l’idée de la coucher sur papier, cette idée. Je ne peux l’oublier, la nier.
Alors je me dis puisqu’elle va venir et que je me suis assez questionné sur "l'après" de sa présence alors je m’occupe de cet après. Non pas à ce que "je" deviendrai avec elle, ou ce qui existera ensuite, mais ce qu’il adviendra de "moi", une fois que je ne serai plus.
Alors je me dis que je dois me presser de faire savoir que je ne veux surtout pas me retrouver sous terre. Enfermé, pourrir, être un lieu de recueillement ou non d’ailleurs, je veux maîtriser ce que je deviendrai. Au moins cela.
Alors je me dis que je dois me presser de faire savoir que je ne veux surtout pas me retrouver sous terre. Enfermé, pourrir, être un lieu de recueillement ou non d’ailleurs, je veux maîtriser ce que je deviendrai. Au moins cela.
Je ne veux que des pensées. Pas de fleurs, pas de recueil, pas de marbre. Je n’aime pas le froid de mon vivant et je ne veux pas me retrouver dans le froid ensuite pour le restant de … On dit bien « ce qui reste à vivre » mais une fois mort on dit quoi, pour le restant de ma décomposition ?
P.S. : Salut à toi Jean-luc, salut à toi Isabelle, salut à toi Sylvie, salut à toi Michou, salut à toi Mamisabelle, salut à toi Suzanne, Salut à toi Momome ... je sais que vous ne m'oublirez jamais.
Normandie.
Quatre jours de Bréal à Grandville. Récit / photographique de ce que j' ai pu y vivre, découvrir ou plutôt redécouvrir et là différemment, 20 ans après avec mes yeux d'adulte. Quatre jour à observer ce qui se passait autour de moi, à aller à la rencontre des habitants, des couleurs, des sensations, des mouvements, libre, aller jusque dans les plus petites rues, les endroits les plus insolites, toucher sentir ce qui s'y passe, écouter et sentir le vent, se faire masser par les vagues de la Manche, et la sable, observer l'horizon. Regarder à ses pieds voir ce qui s'y passe, jusqu'au plus lointain. Rien n'est insignifiant, tout est important.
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