Laisses la te prendre, t'envahir,
te faire vibrer tes sens,
tes yeux n'en peuvent plus de l'entendre,
personne ne pourra t'enlever ces transes et ce plaisir.
C'est juste une plainte qui te suit,
qui te permet d'aimer sa présence,
mais tu sais qu'elle est toute en nuances,
et que sans elle rien tu n'oublie.
J'affiche sa présence, ça se répète,
je la sens langoureuse, elle m'apprivoise, ne sera jamais pernicieuse,
me poussant hors de mes limites elle sait être malicieuse,
je deviens furieux, et son immensité dans son intensité se révèle,
pour plus de plaisirs, je l'aime cette musique, ces sons, ces transes, ces chants, cette énergie, cette pureté, ces formes musicales, ce mélange des genres, c'est fort là dedans quelque part en moi. Tu es en moi et je te suis, et tu me suivras, avec tes pouvoirs. Chantes ma vie. Animes mes nuits, mes jours. Rappelles moi ce que j'étais. Et accompagnes moi dans mon existant.
Love on the rytme.
Man was born to love.
And every nignt I share my heart, you change my eyes.
samedi 14 février 2009
Prendre le bus et la réponse en pleine gueule.
Face à face.
L'espace d'un titre, celui qui sépare les sillons entre eux.
L'espace qui manque souvent entre deux êtres pour qu'ils survivent pleinement à leur relation.
L'espace d'un moment où tout se joue.
L'espace, cette endroit déjà bien envahit et pollué par l'homme et ses machines.
L'espace qui m'est réservé et dont je ne veux pas.
L'espace temps qui me sépare de toi, de plus en plus ou bien me rapproche de toi.
L'espace qui manque dans mon portefeuille pour y mettre tous mes billets imaginaires.
L'espace qui manquait au bord de cette route afin d'éviter ce platane.
L'espace qui manquait et a permis à l'alcool que tu as ingurgité de remplir tes veines et ton cerveau ce soir là.
L'espace que j'ai regardé chaque soir en me demandant où j'étais.
L'espace qui sépare un pauvre dans la rue des passants.
L'espace d'une file d'attente ou personne ne penses à autre chose que de se plaindre du service et du temps trop lent, seul moyen de communiquer ?
L'espace qui m'a manqué pour respirer ma propre vie.
Le temps parcouru à sillonner les rues de cette ville inconnue, de cette vie inconnue peut être trop courte, pour toi, pour moi, pour l'amour, pour s'aimer, se connaître soi même.
L'espace qui n'exite plus entre nos deux corps.
Et sinon ?
L'espace qui manque souvent entre deux êtres pour qu'ils survivent pleinement à leur relation.
L'espace d'un moment où tout se joue.
L'espace, cette endroit déjà bien envahit et pollué par l'homme et ses machines.
L'espace qui m'est réservé et dont je ne veux pas.
L'espace temps qui me sépare de toi, de plus en plus ou bien me rapproche de toi.
L'espace qui manque dans mon portefeuille pour y mettre tous mes billets imaginaires.
L'espace qui manquait au bord de cette route afin d'éviter ce platane.
L'espace qui manquait et a permis à l'alcool que tu as ingurgité de remplir tes veines et ton cerveau ce soir là.
L'espace que j'ai regardé chaque soir en me demandant où j'étais.
L'espace qui sépare un pauvre dans la rue des passants.
L'espace d'une file d'attente ou personne ne penses à autre chose que de se plaindre du service et du temps trop lent, seul moyen de communiquer ?
L'espace qui m'a manqué pour respirer ma propre vie.
Le temps parcouru à sillonner les rues de cette ville inconnue, de cette vie inconnue peut être trop courte, pour toi, pour moi, pour l'amour, pour s'aimer, se connaître soi même.
L'espace qui n'exite plus entre nos deux corps.
Et sinon ?
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