samedi 5 juillet 2008

Non, ce n'est pas le "trou du cul du monde".

C'est là où j'aime aller, me ressourcer, toucher les arbres, la mousse, à n'importe quelle saison, repenser à mon enfance, écouter les branches craquer sous les pas d'un animal la nuit, entendre les arbres frémir et se frotter entre eux sous des "déferlantes ventesques", sentir mes pas sur les feuilles mortes, sur la neige, entrevoir le passé en foulant les sentiers que me encêtres barrilliots et boudailles ont eux même franchis. Cueillir des champignons, des fleurs, des racines, regarder passer un écureuil, un chevreuil, suivre un ruisseau, voir cet endroit sauvage comme jamais et différent à chaque fois, le voir vivre, évoluer et l'aimer. Evaluer son âge, ce qu'il a vécu, se poser au pied d'un arbre et ne rien faire, attendre discretement que la nature vienne à vous et vous surprenne.






Toutes les émotions sont-elles bonnes à prendre ?

Aller à Paris,

une certaine image de Paris.
































Bea, Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea,Bea, ...... Voilà.