dimanche 15 février 2009
Plus que de l'encre noire.
Panique dans les rues, les villes, l'air s'appauvrit, il pue, il empeste, plus personne ne sourit, les langues se lient. Les regards ne savent plus où donner de la voie pour se faire comprendre. Un passant regarde le ciel, il sait qu'il ne devrait pas, même si cela n'engage que lui.
Il sait que si il le fait d'autres le feront sûrement, et là il court un très grand risque.
Une caméra pourrait le voir. Aucune n'est d'ailleurs tournée vers le ciel, même le gouvernement en place n'ose le faire. Il délègue cette tache à une poignée de scientifiques qui semble-t-il n'a plus rien à perdre. Mais je les comprends, quitte à mourir autant être le premier à le savoir et à voir ce qui va vous tomber dessus, même si à la vitesse à laquelle cela arrivera, il n'aura pas le temps de faire savoir au monde qu'il a été le premier à savoir ce qui nous détruira. Mais parait-il que rien que le fait de voir ce qui va arriver nous met sur le haut de la liste.
L'homme n'ose regarder autour de lui voir si il a incité d'autres sujets à le faire. C'est si tentant et si interdit. Est-il le dernier à l'avoir vu ce ciel ? Et si à cause de lui quelqu'un d'autre a enfreint la loi.
Une peur l'envahit, il transpire très fort, il rougit, a mal au ventre, son coeur bat très vite. "non, pas de panique, je fais comme si de rien n'était, et puis si je dois être arrêté alors je le saurai assez vite", mais cela ne m'étant jamais arrivé, je ne sais si je vais me débattre, ou être résigné". A ce qu'il parait, les arrestations sont devenues fréquentes, et n'interviennent qu'une fois dans une vie. Mais est-ce encore une manipulation du gouvernement ? Parait il qu'ils veulent créer des prisons dans l'espace. Ils ont tenté d'en mettre deux l'an dernier en orbite mais elles sont rentrées en collision avec un satellite chinois. Heureusement qu'elles étaient vides, enfin c'est ce qu'ont annoncé les deux gouvernements. Mais certains détracteurs parlent de manipulation commune aux deux pays pour se débarrasser de leurs cadavres. Le gouvernement chinois ne pouvant plus assassiner librement dans les rues, il enverrait des prisonniers dans de vieux vaisseaux pour qu'ils n'en reviennent jamais. Et puis sur terre le manque de place se fait de plus en plus sentir. Le problème révélé par l'O.M.S. - dont les dirigeants sont activement recherchés et se terrent -n'est pas rassurant. La nappe phréatique regorge de tissus neveux vivant se développant à une vitesse folle. Ils proviendraient de tous les corps entassés un peu partout depuis des milliers d'années, et qui n'arrivent plus à pourrir assez vite. Alors les maladies qui nous tuent tous chaque jour, ne meurent pas assez vite sous terre, et continuent à se développer en matières organiques qui sortent de terre. On les brûle et elles repoussent de plus belles. Oui de plus elles sont ravissantes, on ne peut plus distinguer le bon du mauvais. Il y a eu une période ou l'on brûlait systématiquement les corps inertes, puisqu'il était impossible de garder un cadavre dans le sol par risque de voir se propager des maladies. Mais désormais même le feu ne les arrête plus et leur permet même de se développerer les nourrissant. On ne peut plus distinguer le mal du bien dans les formes et les couleurs des plantes. Et ce ne sont pas que les espèces végétales, mais aussi animales qui sont touchées. Les premières sont celles vivant dans nos forets contaminées d'après - toujours l'O.M.S - par les déchets laissés par les chasseurs. Mais ceux-ci démentent formellement et bravant les journalistes avec des haches et des couteaux comme preuve de bonne fois. De toute façon tous les scientifiques réfractaires vivant dans des trous d'airs sécurisants sont alarmistes. Il y eut les rayons gamma qui commençaient à tuer la planète puis ensuite les rayons G et voilà maintenant que ce qui nous tue ne vient même plus de l'espace lui même. Cet espace toujours aussi inconnu, a tellement déposé de particules dans le sol terrestre que c'est de là que vient maintenant le danger. Regardez ces personnes qui marchent sur des échasses, en cuivre, le bois étant rongé par la terre qui a envahit les sols des villes soulevant le macadam appauvri par les déchets nucléaires qui ont servi à sa fabrication. Tout ce qui touche le sol est en cuivre, enfin pour ceux qui peuvent se l'acheter. Ce n'est plus après le pétrole que l'on court, parce qu'il n'y en a plus depuis longtemps. Mais on se bat, se déchire s'entretue pour du cuivre qui ne vous permettra non pas de vivre mais de ne pas mourir "stupidement". Et même si il restait du pétrole qui était contaminé par ce qui nous est venu du ciel, il serait toujours utilisé malgré les dangers qu'il représente.
Aujourd'hui toute cette cruauté est revenue à l'esprit de notre humain qui vient de regarder le ciel noir, et qui a certainement vu ce qu'il ne fallait pas voir et ce qu'il ne faut surtout pas décrire par crainte que cela se sache et vous amène droit vers ce ciel tant redouté. Alors loi aussi aujourd'hui je me demande si dans les minutes qui suivent l'armée des chasseurs tripons ne a pas survoler mon appartement, j'écoute si le sous sol ne tremble pas ce qui annoncerait leur arrivée, mais rien pour l'instant, alors je continue je prends des risques mais je vais continuer à vous décrire ce nouveau monde. (...)
samedi 14 février 2009
On the Beat.
Laisses la te prendre, t'envahir,
te faire vibrer tes sens,
tes yeux n'en peuvent plus de l'entendre,
personne ne pourra t'enlever ces transes et ce plaisir.
C'est juste une plainte qui te suit,
qui te permet d'aimer sa présence,
mais tu sais qu'elle est toute en nuances,
et que sans elle rien tu n'oublie.
J'affiche sa présence, ça se répète,
je la sens langoureuse, elle m'apprivoise, ne sera jamais pernicieuse,
me poussant hors de mes limites elle sait être malicieuse,
je deviens furieux, et son immensité dans son intensité se révèle,
pour plus de plaisirs, je l'aime cette musique, ces sons, ces transes, ces chants, cette énergie, cette pureté, ces formes musicales, ce mélange des genres, c'est fort là dedans quelque part en moi. Tu es en moi et je te suis, et tu me suivras, avec tes pouvoirs. Chantes ma vie. Animes mes nuits, mes jours. Rappelles moi ce que j'étais. Et accompagnes moi dans mon existant.
Love on the rytme.
Man was born to love.
And every nignt I share my heart, you change my eyes.
te faire vibrer tes sens,
tes yeux n'en peuvent plus de l'entendre,
personne ne pourra t'enlever ces transes et ce plaisir.
C'est juste une plainte qui te suit,
qui te permet d'aimer sa présence,
mais tu sais qu'elle est toute en nuances,
et que sans elle rien tu n'oublie.
J'affiche sa présence, ça se répète,
je la sens langoureuse, elle m'apprivoise, ne sera jamais pernicieuse,
me poussant hors de mes limites elle sait être malicieuse,
je deviens furieux, et son immensité dans son intensité se révèle,
pour plus de plaisirs, je l'aime cette musique, ces sons, ces transes, ces chants, cette énergie, cette pureté, ces formes musicales, ce mélange des genres, c'est fort là dedans quelque part en moi. Tu es en moi et je te suis, et tu me suivras, avec tes pouvoirs. Chantes ma vie. Animes mes nuits, mes jours. Rappelles moi ce que j'étais. Et accompagnes moi dans mon existant.
Love on the rytme.
Man was born to love.
And every nignt I share my heart, you change my eyes.
Prendre le bus et la réponse en pleine gueule.
Face à face.
L'espace d'un titre, celui qui sépare les sillons entre eux.
L'espace qui manque souvent entre deux êtres pour qu'ils survivent pleinement à leur relation.
L'espace d'un moment où tout se joue.
L'espace, cette endroit déjà bien envahit et pollué par l'homme et ses machines.
L'espace qui m'est réservé et dont je ne veux pas.
L'espace temps qui me sépare de toi, de plus en plus ou bien me rapproche de toi.
L'espace qui manque dans mon portefeuille pour y mettre tous mes billets imaginaires.
L'espace qui manquait au bord de cette route afin d'éviter ce platane.
L'espace qui manquait et a permis à l'alcool que tu as ingurgité de remplir tes veines et ton cerveau ce soir là.
L'espace que j'ai regardé chaque soir en me demandant où j'étais.
L'espace qui sépare un pauvre dans la rue des passants.
L'espace d'une file d'attente ou personne ne penses à autre chose que de se plaindre du service et du temps trop lent, seul moyen de communiquer ?
L'espace qui m'a manqué pour respirer ma propre vie.
Le temps parcouru à sillonner les rues de cette ville inconnue, de cette vie inconnue peut être trop courte, pour toi, pour moi, pour l'amour, pour s'aimer, se connaître soi même.
L'espace qui n'exite plus entre nos deux corps.
Et sinon ?
L'espace qui manque souvent entre deux êtres pour qu'ils survivent pleinement à leur relation.
L'espace d'un moment où tout se joue.
L'espace, cette endroit déjà bien envahit et pollué par l'homme et ses machines.
L'espace qui m'est réservé et dont je ne veux pas.
L'espace temps qui me sépare de toi, de plus en plus ou bien me rapproche de toi.
L'espace qui manque dans mon portefeuille pour y mettre tous mes billets imaginaires.
L'espace qui manquait au bord de cette route afin d'éviter ce platane.
L'espace qui manquait et a permis à l'alcool que tu as ingurgité de remplir tes veines et ton cerveau ce soir là.
L'espace que j'ai regardé chaque soir en me demandant où j'étais.
L'espace qui sépare un pauvre dans la rue des passants.
L'espace d'une file d'attente ou personne ne penses à autre chose que de se plaindre du service et du temps trop lent, seul moyen de communiquer ?
L'espace qui m'a manqué pour respirer ma propre vie.
Le temps parcouru à sillonner les rues de cette ville inconnue, de cette vie inconnue peut être trop courte, pour toi, pour moi, pour l'amour, pour s'aimer, se connaître soi même.
L'espace qui n'exite plus entre nos deux corps.
Et sinon ?
vendredi 13 février 2009
P.S. :
IL se peut que se glissent dans ces textes, des fautes, d'orthographe, d'accord, mais pas de mauvais goût. Alors merci à toi de m'apporter conseil ( en ces temps difficiles ) en tes remarques qui seront si joliment amenées. Bien sur, elle seront également bienveillantes et libres. Toi qui sais où l'on doit placer cette virgule, ce qui peut se dire ou pas, fais bien attention, certains textes et leur forme pourraient bien te heurter dans ton savoir. T'outrer.
En tous cas, j'ai utilisé autant que possible le dictionnaire de blogspot, mais certains mots n'ont pas été trouvé. Tels, pour le texte suivant, Enculé et Sarkozy.
Bon ce n'est pas grave, j'en ai fait mon affaire de toute façon.
En tous cas, j'ai utilisé autant que possible le dictionnaire de blogspot, mais certains mots n'ont pas été trouvé. Tels, pour le texte suivant, Enculé et Sarkozy.
Bon ce n'est pas grave, j'en ai fait mon affaire de toute façon.
Aux armes ...
"Bonjour Monsieur."
Un calvaire venait de se terminer avec l'excitation d'un citoyen stupide, attendant, trop impatiemment. Il était temps qu'il soit appelé. Sa dernière action montrant son énervement, dirigée contre le mobilier de l'état, était de trop. En effet le dernier coup de pied donné, j'en ai reçu les raisonnements dans mon corps puisque celui-ci allait sur le banc sur lequel j'étais assis.l'agent qui me reçut était accompagné par un des ses collègues qui venait de terminer son service à un des guichets de l'accueil. C'est d'ailleurs lui qui m'a renseigné pour me dire où me diriger et nous avons même échangé une blague et demie ensemble. L'heure n'était pas encore assez grave pour moi.
En entrant dans ce bureau, je me dis que je n'avais pas à craindre de heurts. Pas tels ceux entendus quelques minutes auparavant venant d'une personne qui ne comprenait pas pourquoi - eh oui dans les services de l'administration des fois il n'y a pas de portes, et des fois on ne les ferme pas au cas où les histoires qui se racontent pourraient concerner d'autres citoyens qui en prendraient bonne graine - sa carte d'invalidité et son statut de travailleur handicapé ne lui donnaient pas droit à des abattements. En fait c'est pour mieux t'abattre mon gars. Il s'en est allé d'insultes sur un certain Sarkozy et un gouvernement. Un enculé qu'il disait de ce gouverneur ce brave homme. Puis la personne en ayant marre d'être dans la survie et ayant peur du pire s'est entendue dire qu'il ne pouvait pas entendre des choses comme cela. Je sais pas par contre si le brave contribuable a eu droit à de la compassion - oui une employée a su comprendre qu'il fallait peut être fermer la porte du bureau - peut être qu'elle était dérangée par ses maux, transformés en plaintes qui dérangent il qu'il n'avait pas à formuler ... ici. Précision d'importance, pour vous dire que la porte du bureau est en verre ce qui rajoute de l'adrénaline au contribuable, de l'action pour les prochains à passer, et un semblant de vie, non d'humanité enfin de communication et de partage de l'angoisse de l'autre. En tous cas, le citoyen est ressorti de ce bureau soulagé de de je ne sais pas quoi, j'hésite entre le fait de ne pas être encore plus pénalisé d'avoir dit ce qu'il avait sur le coeur ou bien d'avoir été convaincu qu'il est un mauvais contribuable qui n'a rien compris à la loi, oui vous savez bien seul les agents de l'administration peuvent vous rappeler la loi que eux seuls connaissent, c'est donc pour cela que personne n'est sensé l'ignorer cette loi qui est souvent contraire à vos espérances. Et quand cet homme s'est excusé auprès de moi que sa vie soit dure, j'étais peiné.
Mon tour.
Pas besoin de vérifier mon numéro je suis le dernier.
Je me dis que la raison de ma venue n'ayant rien de contestataire, mais étant intéressée par leur fonctionnement, ne devrait pas poser de soucis. En fait, je venais vérifier si je n'avais pas fait une erreur dans mes déclarations. Je parle des mes voyages. Nous savons tous que l'erreur se paie très chère et pendant longtemps. Je voulais donc éviter d'être moi aussi encore plus pénalisé et en plus si cela venait de moi. Car c'est bien un autre centre des impôts qui m'a conseillé de venir ici aujourd'hui.
Mais là grosse incompréhension, de la part de l'agent puisque je n'avais pas de question.
J'évoque l'imposition sur le revenu pour laquelle je suis redevable, alors l'agent m'imprime un document qui s'avère est un duplicata de celle-ci. Mais je l'avais prise avec moi, et au moment où je veux sortir un autre document de mon sac, l'original en sort aussi. Alors l'agent s'énerve à parement outré me demandant pourquoi je lui ai demandé de m'imprimer la copie de mon avis d'imposition. Bien sur je lui dis que je ne lui ai rien demandé. Son collègue ne dit rien.
Il veut absolumentt une question, je lui dis que je viens voir si je n'ai pas fait d'erreur. Mais pour ce qui ne semble pas être une vraie question, en tous cas digne d'être posée à un agent des impôts. Alors c'est l'interrogatoire, et il me demande pourquoi je veux savoir si j'ai fait une erreur, "monsieur vous devez faire ça et si vous l'avez pas fait ... ". En fait l'agent est là pour vous faire comprendre qu'il sait et que si vous venez le voir c'est que vous ne savez pas et que vous ne savez pas poser les bonnes question. Mais je n'avais pas de question. Alors au bout d'un moment j'en ai posé une. Une vraie pas une idiote à laquelle il ne voulait ou pouvait pas répondre. Je lui ai demandé ou et quand, mais pas pourquoi. Quels sont mes devoirs, mais pas mes droits.
Je reviendrai c'est sur, je poserai alors une question naïve et on m'y répondra avec une leçon de morale. Et je ne dirai surtout pas "oui je sais, ce n'est pas ce que je vous ai demandé" à parement ça a le don d'agacer celui à qui vous la posez.
Si vous n'avez rien à faire un après midi ou il ne fait pas trop beau, et comme vous ne voulez pas regarder la t.v. qui vous ment, alors allez voir la réalité dans votre centre des impôts. Qui ne vous mentira jamais.
Bien sur je vous évite mon passage à la C.A.F. Et mon coup de fil à L'U.R.S.SA.F.
Allez bon courage, citoyens.
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