vendredi 20 mars 2009












































Trouver un endroit. A photographier.
Une usine au loin, quitter l'autoroute pour la rejoindre.
Et patatras, l'usine est inaccessible.
Mais à proximité, un pont. Celui de l'autoroute.
Alors, merveille de lignes et courbes d'un coté et de graffs de l'autre.
Et regards méfiants de ces personnes qui surgissent de je ne sais où.

dimanche 15 mars 2009

Agressions.

Quelle société mes enfants, vraiment.
Je vous explique. Je me sens agressé. Oui, par les publicités qui inondent notre quotidien.
Et quelle ampleur cela va prendre je ne sais pas encore, mais je suis très énervé. En effet que celles-ci remplissent nos boites à lettres passe encore, elles iront ensuite au recyclé. Mais là ça dépasse tout, on va même jusqu'à vous les coller sur le pare brise de votre véhicule. Le plus souvent au centre ville, allez savoir pourquoi ? Et le pire, c'est qu'on vous demande aussi de payer pour le lire, d'y mettre un timbre et de le renvoyer. Le montant demandé pour lire ce torchon bleu et blanc même pas recyclable, varie et commnence par 11 euros et monte vite, je ne sais si cela correspond à une cotisation quelconque ou pas. Et qui sont les crapules ou qui est cette racaille qui agit impunément. Alors non je ne paierai pas et je ne me laisserai pas avoir par un quelconque chantage ou pression. Je vous le dis de toute façon je vais me rendre la semaine prochaine à la police municipale avec ces putains de prospectus déposes sur mon par brise. Je préfère faire cette démarche plutôt que d'en choper un, parce que l'autre jour j'ai entendu dire que ce groupe est très bien organisé et peut être armé donc dangereux et ils se déplacent toujours en groupe. Et avec des véhicules puissants.

Trois-fontaines, l'abbaye et ses alentours Marne - Mars 2009.


















































Savoir impenetrable.

On y retournera,

Ce soir j'espère tout contrôler,
tout c'est à dire moi,
le monde je m'en fou,
ce qui m'intéresse c'est moi.

Je veux en avoir le droit.
On a tous les droits sur cette terre,
de la destruction à la naissance,
de ta grandiose froideur à celle de mes mains moites de peur.

On y retournera, c'est sur, tu verras,
prends moi dans tes bras,
ta sagesse est si abominable,
et tu la maîtrises si bien.

La nuit est en toi,
le soir venu rien n'est plus pareil,
l'amour n'est plus le même,
la vie n'est plus la même,
la mort non plus.

Vas-t-en loin, mais très loin,
là où même mes pensées ne pourront te choper,
ainsi je ne pourrais rien entrevoir de tes préparatifs,
de ton savoir impénétrable et immense,

c'était imminent ... maintenant je m'en vais?
Mais j'y retournerai.